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Photographie | Proies et prédateurs | Prédation (biologie) | Biologie animale | animaux prédateurs | Gravure | Animaux -- Dans l'art | Animaux -- Alimentation -- Besoins | Animaux marins | Animaux -- Alimentation | Animaux sauvages | Mammifères | Lapins | Entomologie | Dessins et plans | Coccinellidae | Insectes | Coccinelles | Renards | Méduses | ...
Aigle capturant un lapin. Source : http://data.abuledu.org/URI/515a6abc-aigle-capturant-un-lapin

Aigle capturant un lapin

Bas-relief retrouvé à Istanbul, Xe siècle, représentant un aigle, ailes déployées, capturant un lapin (British Museum, Londres).

Antilopes et coyote. Source : http://data.abuledu.org/URI/587ea3d0-antilopes-et-coyote

Antilopes et coyote

Antilopes et coyote, "Les Américains à quatre-pattes et leur famille" (Four-footed Americans and their kin), 1898, par Ernest Thompson Seton (1860-1946).

Équations proie-prédateur de Lotka-Volterra. Source : http://data.abuledu.org/URI/50bf7632-equations-proie-predateur-de-lotka-volterra

Équations proie-prédateur de Lotka-Volterra

Courbes d'évolution d'un système complexe, formé de deux espèces, proie et prédateur : équations de Lotka-Volterra. L'effectif des proies est x(t), celui des prédateurs y(t) . On retombe sur le cas précédent si y est nul. La quantité x(t)y(t) est une probabilité de rencontre, qui influe négativement sur une population (les proies), positivement sur l'autre (les prédateurs). À chaque instant, connaissant les populations en présence, on peut décrire la tendance. Ces deux équations sont couplées c'est-à-dire qu'il faut les résoudre ensemble. Mathématiquement, il faut les concevoir comme une seule équation d'inconnue le couple (x(t),y(t)) . Si l'effectif initial des populations est connu, l'évolution ultérieure est parfaitement déterminée. Elle se fait le long d'une des courbes d'évolution figurées ci-contre, qui laissent apparaître un comportement cyclique.

Étoile de mer commune. Source : http://data.abuledu.org/URI/5148969c-etoile-de-mer-commune

Étoile de mer commune

Étoile de mer commune (Asterias rubens). Les étoiles de mer (Asteroidea) forment une classe d'échinodermes. On dénombre au moins 1 500 espèces réparties dans plus de 30 familles vivant dans tous les océans. Elles ont généralement 5 bras, mais peuvent en avoir plus. Celles-ci ont une espérance de vie d'environ 4 à 5 années. Elles sont un symbole maritime important. L'espèce la plus répandue et la plus étudiée est l'étoile de mer commune. Certaines espèces ont la possibilité de se régénérer, c'est-à-dire la capacité de faire repousser un ou plusieurs de leurs bras si elles en sont détachées. Un bras perdu peut être régénéré en moins d'un mois. Elle se nourrit grâce à son orifice buccal, situé sur sa face ventrale et composé de cinq « dents ». Ses pièces buccales sont d'ailleurs un élément qui sert pour sa classification. L'étoile de mer est principalement un prédateur, mais quelques espèces sont filtreurs. Son régime alimentaire est principalement constitué de proies immobiles ou se déplaçant lentement.

Glouton. Source : http://data.abuledu.org/URI/50571ace-glouton

Glouton

Le Glouton ou Carcajou (Gulo gulo) est une espèce de mammifère omnivore, mais surtout carnivore, de la famille des mustélidés. Il ressemble à un petit ours (10 à 15 kg) ayant une queue velue. Bien adapté à la vie de charognard, le glouton a des dents et des mâchoires robustes qui lui permettent de broyer de gros os et de manger de la viande gelée. Son odorat très fin lui permet de détecter la présence de nourriture sous une épaisse couche de neige.

L'agnelet. Source : http://data.abuledu.org/URI/50977c1f-l-agnelet

L'agnelet

Illustration par J. D. Batten du conte indien "L'agnelet" (The Lambikin), "Fairy Tales of India" (1892) de J. Jacobs (1854-1916) : après avoir bien mangé chez sa grand-mère, l'agnelet se fait faire un tambour bien rembourré dans lequel il va se cacher pour essayer d'échapper aux prédateurs qui le guettent.

Le renard et le sanglier. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ed64c2-le-renard-et-le-sanglier

Le renard et le sanglier

Le renard et le sanglier, Die Gartenlaube (1879) b 017, par Fedor Flinzer (1832-1911).

Le zèbre et le chien sauvage africain. Source : http://data.abuledu.org/URI/58570058-le-zebre-et-le-chien-sauvage-africain

Le zèbre et le chien sauvage africain

Le zèbre pourchassé par le lycaon (Lycaon pictus), musée Naturalis de Leyde.

Loup guettant sa proie. Source : http://data.abuledu.org/URI/587eb05f-loup-guettant-sa-proie

Loup guettant sa proie

Loup guettant sa proie en hiver, "Les Américains à quatre-pattes et leur famille" (Four-footed Americans and their kin), 1898, par Ernest Thompson Seton (1860-1946).

Méduse échouée sur la plage. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d7bcdc-meduse-echouee-sur-la-plage

Méduse échouée sur la plage

Méduse échouée sur la plage : une méduse est formée d'une calotte appelée ombrelle et d'un axe vertical (manubrium), fixé au centre de la face inférieure. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9duse_%28animal%29.

Quatre méduses. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d7bad6-quatre-meduses

Quatre méduses

Quatre méduses.

Renard à l'affût. Source : http://data.abuledu.org/URI/51fd0239-renard-a-l-affut

Renard à l'affût

Renard à l'affût, par Walter Heubach (1865–1923).

Affrontement entre manchot et pétrel. Source : http://data.abuledu.org/URI/5373acca-affrontement-entre-manchot-et-petrel

Affrontement entre manchot et pétrel

Affrontement entre un manchot papou (Pygoscelis papua) et un pétrel géant (Macronectes giganteus).

Araignée et criquet. Source : http://data.abuledu.org/URI/531b2616-araignee-et-criquet

Araignée et criquet

Araignée (Chromatopelma cyaneopubescens) femelle à la poursuite d'un criquet pélerin (Schistocerca gregaria).

Autotomie du lézard. Source : http://data.abuledu.org/URI/535cbf1b-autotomie-du-lezard

Autotomie du lézard

Autotomie du lézard. L'autotomie est la capacité qu'ont certains animaux de perdre une partie de leur corps volontairement, en particulier certains reptiles et invertébrés, pour échapper à un prédateur. Certains rongeurs peuvent aussi perdre une partie de leur queue. Il s'agit d'une stratégie de défense consistant à abandonner volontairement une partie non vitale de son corps (en général la queue, mais parfois un membre, de la peau…) afin d'échapper à un prédateur. La perte se produit soit lorsque la partie du corps est déjà prise par le prédateur (il s'agit alors de se libérer pour fuir) soit avant une attaque afin de créer une diversion. Le membre se sépare en général à des endroits pré-établis de l'anatomie de l'animal. Ce sont la plupart du temps des articulations de la queue ou des membres. Selon les espèces, la partie abandonnée peut repousser, tel la queue du lézard. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Autotomie En général le membre abandonné reste agité de mouvements réflexes, donnant une illusion de vie et occupant le prédateur.

Banc de requins. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d83808-requins

Banc de requins

Banc de requins.

Caméléon de Namaqua dans le désert de Namibie. Source : http://data.abuledu.org/URI/537361c6-cameleon-de-namaqua-dans-le-desert-de-namibie

Caméléon de Namaqua dans le désert de Namibie

Caméléon de Namaqua (Chamaeleo namaquensis) dans le désert de Namibie : pour se protéger de ses prédateurs, il peut adapter sa couleur à son environnement (chromatophore).

Caméléon de Namibie. Source : http://data.abuledu.org/URI/53735e66-cameleon-de-namibie

Caméléon de Namibie

Caméléon de Namibie (Chamaeleo namaquensis). Son nom d'espèce, composé de namaqu[aland] et du suffixe latin -ensis, "qui vit dans, qui habite", lui a été donné en référence au lieu de sa découverte : le Namaqualand. Il vit dans des milieux arides. Il peut atteindre 63,50 cm. On peut le voir marcher au sol. Il s'est adapté aux changements climatiques. Ses prédateurs sont le faucon, le chacal et l'aigle ; près des habitations humaines, le chat et le chien. Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Namaqua_chameleon

Chaîne alimentaire entre mer, terre et air. Source : http://data.abuledu.org/URI/50f9aefc-chaine-alimentaire-entre-mer-terre-et-air

Chaîne alimentaire entre mer, terre et air

Chaîne alimentaire animale entre mer, terre et air. Source : http://www.fcps.edu (ecology on islandcreeks, CK-12 project)

Chats et poisson. Source : http://data.abuledu.org/URI/537e4144-chats-et-poisson

Chats et poisson

Chat allongé au pied d'un mur décoré d'un graffiti représentant une tête de chat bicolore tenant les restes d'un poisson entre les dents. Padangbai, Bali, Indonésie.

Chouettes et faucons. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b2f3b4-chouettes-et-faucons

Chouettes et faucons

Chouettes et faucons, par Wenceslas Hollar (1607–1677).

Coccinelle et pucerons. Source : http://data.abuledu.org/URI/534d67a9-coccinelle-et-pucerons

Coccinelle et pucerons

Coccinelle ayant isolé des pucerons (Aphidoidea) au bout de feuilles de rosiers, et s’apprêtant à les manger.

Coquilles d'escargots cassées. Source : http://data.abuledu.org/URI/5342fea0-coquilles-d-escargots-cassees

Coquilles d'escargots cassées

Coquilles d'escargots (Cepaea hortensis et Cepaea nemoralis) : les merles lancent les escargots sur des surfaces dures où les coquilles se cassent et mangent la chair.

Couleuvre avalant un lézard. Source : http://data.abuledu.org/URI/53ade69c-couleuvre-avalant-un-lezard

Couleuvre avalant un lézard

Couleuvre de Montpellier (Malpolon monspessulanus) avalant un lézard (Podarcis hispanica).

Escargot des jardins. Source : http://data.abuledu.org/URI/5342f114-escargot-des-jardins

Escargot des jardins

Escargot des jardins (Cepaea hortensis) sur une feuille. Son habitat est très varié, on le trouve dans les bois et les prairies, les haies et les dunes. Il apprécie les feuilles d'arbres fruitiers tels que le pommier. Il possède comme prédateur la grive musicienne. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Escargot_des_jardins.

Gite du tronc creux dans le parc du Bourgailh. Source : http://data.abuledu.org/URI/5826c9b8-gite-du-tronc-creux-dans-le-parc-du-bourgailh

Gite du tronc creux dans le parc du Bourgailh

Le tronc creux, gite conçu par Yvan Detraz, Bruit du frigo, 2013, réalisation : Zébra3/Buy-Sellf. Dans le parc du Bourhailh, Pessac-33. Refuge en forme de tronc d’arbre, en acier et bois, comme oublié là après une coupe d’arbres géants. « Les troncs et les arbres creux sont des refuges naturels pour de nombreux animaux, à la fois nids, abris contre le froid ou cachettes pour échapper aux prédateurs, mais ils sont aussi des symboles de vie comme de mort, de protection comme de menace. Le mystère qui les entoure a toujours stimulé l’imaginaire des hommes, inspirant légendes et contes folkloriques, servant d’habitats pour les ermites, de lieux de sabbat pour les sorcières… ». Le site fut auparavant une décharge et les écorces qui la recouvrent prennent la forme de crampons rappelant eux-mêmes les roues des compacteuses, ces engins utilisés pour broyer et tasser les détritus.

Hérons au bord de l'étang. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b2f4ad-herons-au-bord-de-l-etang

Hérons au bord de l'étang

Hérons au bord de l'étang, par Wenceslas Hollar (1607–1677).

Inselberg au Zimbawe. Source : http://data.abuledu.org/URI/52778615-inselberg-au-zimbawe

Inselberg au Zimbawe

Inselberg de Granite de la région de Mbalabala au Zimbabwe. Les kopjes sont souvent occupés par de nombreux animaux, telles que les éléphants, les lions ou les guépards. Paradoxalement, on constate que de nombreux herbivores y viennent car la surélévation des lieux permet de voir venir les prédateurs de loin, alors que ces mêmes prédateurs les utilisent pour pouvoir guetter leurs futures proies.

Jeune coccinelle. Source : http://data.abuledu.org/URI/534d6275-jeune-coccinelle

Jeune coccinelle

Jeune coccinelle asiatique (Harmonia axyridis). Lieu : Parc urbain de la Citadelle, Lille (03 juin 2007), sur le flanc d'une branche de charme, environ 1,50 m au dessus du niveau du sol. Les ailes se déplient et se forment. La coccinelle doit les sécher durant plusieurs heures. Leur couleur jaune signale aux prédateurs une toxicité ou un mauvais goût. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Coccinelle_asiatique.

Kangourou roux australien. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e25cbc-kangourou-roux-australien

Kangourou roux australien

Le Kangourou roux (Macropus rufus) est le plus grand des kangourous. Animal emblématique de l'Australie, il apparaît sur les armoiries du pays. Il a deux bras antérieurs réduits avec de petites griffes et deux pattes arrière puissantes lui permettant des bonds de 12 m de long. La queue très puissante sert de balancier pour la course ou d'appui pour le repos. C'est un animal vivant en petits groupes dirigés par un vieux mâle, passant les heures chaudes de la journée à l'ombre à dormir, à se reposer, à essayer de se rafraîchir en haletant, transpirant, se léchant pour faire évaporer sa salive, s'aérant en agitant les bras. Il mène une vie active du coucher du soleil au lever du jour. Les kangourous se déplacent par petits bonds, à une vitesse de croisière d'environ 30 km/h, et peuvent alors parcourir de longues distances. En cas de danger, ils peuvent passer à la vitesse supérieure et courir en zigzags très rapides, jusqu'à 60 km/h en moyenne avec des pointes à 80 - 90 km/h sur de très courtes distances. Parfois, ils peuvent faire des sauts aériens, jusqu'à 3,50 mètres de haut et 13 mètres en longueur, grâce à leurs ressorts et leurs longues pattes fines. Avec leurs grande rapidité et leurs agilité à bondir, ils n'ont pas vraiment de prédateurs (hormis l'homme qui le chasse avec des armes à feu).

La mante religieuse en été. Source : http://data.abuledu.org/URI/510d52a8-la-mante-religieuse-en-ete

La mante religieuse en été

De l'oothèque à l'accouplement, le cycle de vie de la mante religieuse, à partir des observations de Jean-Henri Fabre (1829-1915), Souvenirs entomologiques. Niveau cycle 3 ; 943 mots.

Lapin attrapé par un lynx. Source : http://data.abuledu.org/URI/53052c59-lapin-attrape-par-un-lynx

Lapin attrapé par un lynx

Lynx (Lynx rufus), Parc national de Montana de Oro en Californie, tenant un lapin du désert (Sylvilagus audubonii).

Larve de coccinelle mangeant des pucerons. Source : http://data.abuledu.org/URI/534d6df5-larve-de-coccinelle-mangeant-des-pucerons

Larve de coccinelle mangeant des pucerons

Larve de coccinelle asiatique (Harmonia axyridis) mangeant un puceron sur une feuille.

Larves de coccinelles sous une branche de charme. Source : http://data.abuledu.org/URI/534d5ea8-larves-de-coccinelles-sous-une-branche-de-charme

Larves de coccinelles sous une branche de charme

Environ trente pupes de coccinelles asiatiques (Harmonia axyridis) sous une grosse branche de charme. Parc urbain de la Citadelle, Lille (dimanche 3 juin 2007, 15:18:04). C'est une quantité tout à fait inhabituelle. Pupe = 4e stade larvaire (équivalent des chrysalides de papillons). Comme souvent chez les Coccinellidae, la chrysalide est accrochée à une feuille ou branchette sans être protégée du soleil, des intempéries ou prédateurs. Les restes d’exuvie du 4e stade sont attachés à l'extrémité postérieure de la chrysalide, au point d’attache sur le substrat. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Coccinelle_asiatique

Le coq et la poule défendent leurs poussins. Source : http://data.abuledu.org/URI/54b2ed22-le-coq-et-la-poule-defendent-leurs-poussins

Le coq et la poule défendent leurs poussins

Le coq et la poule défendent leurs poussins attaqués par un oiseau de proie, par Wenceslas Hollar (1607–1677).

Le crabe et la grue. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d15390-le-crabe-et-la-grue

Le crabe et la grue

Conte de Djataka, "Le crabe et la grue", traduction Annie Lesca. 712 mots. Narration et dialogues, à partir du CE1.

Le renard et les lapins. Source : http://data.abuledu.org/URI/53052a8b-le-renard-et-les-lapins

Le renard et les lapins

Le renard et les lapins, Die Gartenlaube (1883) b 841.

Lézard mangeant un insecte. Source : http://data.abuledu.org/URI/51fced45-lezard-mangeant-un-insecte

Lézard mangeant un insecte

Lézard mangeant un insecte en six étapes.

Limace léopard pondant ses oeufs. Source : http://data.abuledu.org/URI/538b9a35-limace-leopard-pondant-ses-oeufs

Limace léopard pondant ses oeufs

Limace léopard (limax maximus) pondant ses oeufs. La limace léopard a une longueur d'environ 13 cm1, certains auteurs lui donnent même une longueur maximum de 20 cm2. La limace léopard est de couleur grise ou brun clair. Son bouclier est moucheté de taches noires d’environ 3 mm, et ces taches sont alignées et peuvent ressembler à des rayures longitudinales sur la queue. Ces limaces ont une longévité de 2 ans et demi à trois ans. La ponte comporte une à trois centaines d’œufs selon la taille et l’état de santé de la mère. Les œufs sont légèrement allongés, de 4 à 5 mm de diamètre, et éclosent entre 19 et 45 jours selon les conditions climatiques, et peuvent être détruits par de nombreux prédateurs qui en sont friands. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Limax_maximus

Méduses en aquarium. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d7c23a-meduses-en-aquarium

Méduses en aquarium

Méduses dans l'aquarium d'Atlanta. Très souvent fuie à cause de ses cellules urticantes, la méduse a néanmoins des prédateurs. Les deux plus grands consommateurs de méduses sont la tortue Luth dont elle est le mets favori, et le poisson lune. Le thon rouge en est aussi très friand. Dans une moindre mesure, des crustacés apprécient le cadavre de certaines espèces. La surpêche ou la disparition des espèces prédatrices des méduses (thons, harengs, anchois, tortues), la disparition de leurs concurrentes telles que les sardines qui augmentent la quantité de nourriture disponible, « la destruction des fonds marins par les chalutiers qui favorise leur reproduction, le réchauffement des eaux, et l'eutrophisation des milieux côtiers » stimulent leur prolifération, au point que les chercheurs Philippe Cury et Daniel Pauly font la conjecture provocatrice qu'« il nous faudra nous contenter de manger des méduses ! » Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9duse_%28animal%29 ; Philippe Cury et Daniel Pauly, Mange tes méduses !, Éditions Odile Jacob,‎ 2013, 224 p.

Meute de loups poursuivant un élan. Source : http://data.abuledu.org/URI/53af034c-meute-de-loups-poursuivant-un-elan

Meute de loups poursuivant un élan

Meute de loups poursuivant un élan dans la neige.

Moineau. Source : http://data.abuledu.org/URI/50fe9e23-moineau

Moineau

Le Moineau domestique (Passer domesticus) est une espèce de petits passereaux de la famille des Passeridae. C'est un petit oiseau assez trapu, mesurant environ 16 cm de long pour un poids allant de 24 à 39,5 g. Les femelles et les jeunes oiseaux sont de pâles, colorés de brun et de gris, tandis que les mâles sont plus vifs, avec des marques noires, blanches et brunes. Il se nourrit majoritairement de céréales et d'autres graines, mais sait s'adapter et tirer profit d'autres opportunités, consommant divers invertébrés, les insectes en premier lieu, qui servent par ailleurs d'alimentation de base aux oisillons. Ses prédateurs principaux sont les chats domestiques, les rapaces et les mammifères.

Monnaie grecque aux aigles. Source : http://data.abuledu.org/URI/53f07885-monnaie-grecque-aux-aigles

Monnaie grecque aux aigles

Tétradrachme d'Agrigente, circa 410 avant J.-C.

Okapi en forêt. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d6032-okapi-en-foret

Okapi en forêt

L’okapi se nourrit de feuilles, de divers végétaux différents (dont l’euphorbe, particulièrement toxique pour l’homme), de bourgeons, de branches tendres, de fruits, de champignons et de fougères. Il cueille sa nourriture à l’aide de sa langue et de ses lèvres préhensiles. Il comble ses besoins en minéraux en mangeant de l’argile sulfureuse qu’il trouve près des rivières ou des graminées poussant sur des sols hautement minéralisés. L’okapi est un animal discret et solitaire qui ne fréquente ses pairs qu’au moment de la reproduction. On compte généralement deux individus au km². Sédentaire, il vit sur un territoire qu’il marque par des dépôts d’urine et des sécrétions issues de glandes situées entre ses doigts. Il emprunte toujours les mêmes pistes de passage qu’il a ainsi marquées. C’est un animal essentiellement nocturne dont le principal prédateur est le léopard. Ses oreilles très grandes lui permettent d'entendre le moindre bruit en cas d'attaque.

Opossum d'Australie. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e2b0c4-opossum-d-australie

Opossum d'Australie

L'opossum d'Australie (Trichosurus vulpecula), appelé Phalanger-renard ou Opossum à queue en brosse, et localement « possum » est une espèce de petit marsupial arboricole australien à queue préhensile qui se nourrit de feuillages et de fruits mais aussi d'insectes, d'œufs et d'oisillons. Introduit en Nouvelle-Zélande pour sa fourrure, il y est à présent considéré comme une espèce invasive car, sans prédateur sur cette île, il pille les nids, blesse les arbres et transmet la tuberculose bovine.

Panique nocturne chez les souris. Source : http://data.abuledu.org/URI/52ed657a-panique-nocturne-chez-les-souris

Panique nocturne chez les souris

Panique nocturne chez les souris, Die Gartenlaube (1879) b 733, par Fedor Flinzer (1832-1911).

Papillon multicolore en Casamance. Source : http://data.abuledu.org/URI/54934777-papillon-multicolore-en-casamance

Papillon multicolore en Casamance

Euchromia guineensis pris en photo à Boucotte en Casamance (Sénégal). Les Arctiidae (du grec αρκτος = ours) (ou Écailles) sont une famille de lépidoptères hétérocères dont les couleurs voyantes préviennent les oiseaux et autres prédateurs de leur toxicité. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Arctiidae

Petit guépard. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d68dd7-petit-guepard

Petit guépard

Petit guépard (Acinonyx jubatus), réserve de Sabi Sand en Afrique du Sud. Les jeunes guépards possèdent un manteau de poils ressemblant à une crinière le long de leur dos. On suppose que ce manteau permet un meilleur camouflage des petits dans l'herbe. Ce pelage, qui les fait ressembler à un ratel, un féroce blaireau, serait une manière d'éloigner les prédateurs. Le manteau commence à disparaître à trois mois, mais peut encore être vu à l'âge de deux ans. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Gu%C3%A9pard.

Petit guépard et sa mère. Source : http://data.abuledu.org/URI/52d690e2-petit-guepard-et-sa-mere

Petit guépard et sa mère

Petit guépard et sa mère allongés dans l'herbe, réserve de Sabi Sad en Afrique du Sud. Le taux de mortalité infantile est très élevé : durant les premières semaines après la naissance, jusqu'à 70 % des jeunes sont tués par d'autres prédateurs. Les petits commencent à suivre leur mère à l'âge de 6 semaines. Ils sont sevrés à trois ou six mois. Ils restent en général avec leur mère pendant 13 à 20 mois, période pendant laquelle elle leur apprend à chasser. Les membres d'une fratrie peuvent parfois demeurer plusieurs mois ensemble.

Petit Koudou femelle et son petit. Source : http://data.abuledu.org/URI/516d65c0-petit-koudou-femelle-et-son-petit

Petit Koudou femelle et son petit

Petit koudou femelle (Tragelaphus imberbis) broutant avec son petit. Le petit koudou est une antilope de taille moyenne, très élancée, fine et haute sur pattes, mais plus petite que son cousin le Grand koudou. Les petits koudous vivent dans une grande aire de répartition situé à l'Est de l’Afrique. Le petit koudou aime les acacias, les brousses denses des zones semi-arides. Les petits koudous ne possèdent pas de territoire, mais un domaine vital d'environ 200 hectares. Les petits koudous sont des herbivores phytophages et opportunistes. Ils se nourrissent de feuillages, pousses, bourgeons, tubercules, fruits, racines et un peu d'herbes. Ils boivent régulièrement, mais peuvent se passer d'eau pendant de longues périodes. Léopards, guépards, lycaons, lions ensuite les babouins et les pythons s'attaquent aux jeunes. Animal vigilant, doté d'une bonne vue diurne, d'un bon odorat et d'une ouie très fine. Le petit koudou est un coureur rapide ainsi qu'un bon sauteur. Il peut bondir jusqu'à 2 mètres de hauteur et jusqu'à 7 mètres en longueur. Il court à 30 km/h en vitesse normale, mais peut accélérer en cas de danger et atteindre environ 70 km/h de moyenne sur une course de vitesse ou un sprint avec des pointes maximales proches de 100 km/h sur une courte distance, qui lui permet de semer ses prédateurs.

Planche de céphalopodes Gamochonia en 1904. Source : http://data.abuledu.org/URI/535d2fa7-planche-de-cephalopodes-gamochonia-en-1909

Planche de céphalopodes Gamochonia en 1904

Planche de céphalopodes Gamochonia, Ernst Haeckel (1834–1919), "Kunstformen der Natur" (1904), planche 54 : Chiroteuthis veranyi, Histioteuthis rüppellii, Pinnoctopus cordiformis, Octopus vulgaris, Octopus granulatu. Les céphalopodes (Cephalopoda, du grec képhalé, la tête, et pous, podos, le pied) sont des animaux de l'embranchement des mollusques, dont le pied, divisé en bras, surmonte la tête. Leur tête, distincte de la masse viscérale, comporte un véritable cerveau contenu dans un crâne cartilagineux ; des yeux perfectionnés, un bec corné, etc. Leur pied, qui s'attache à la tête, est divisé en bras munis de ventouses. Le manteau ventral, contractile, constitue avec le siphon un puissant organe de locomotion. Les céphalopodes existent depuis la fin du Cambrien, il y a 500 millions d'années. Les céphalopodes actuels sont des prédateurs marins. Ils se nourrissent de mollusques, de poissons, et de crustacés. Ils tiennent leur proie avec leurs bras, et la déchiquettent avec leur bec corné. Quand ils sont sédentaires, on peut facilement repérer leur présence par l'amas de coquilles vidées devant leur trou. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/C%C3%A9phalopode

Poisson-grenouille des Sargasses. Source : http://data.abuledu.org/URI/50e4041e-poisson-grenouille-des-sargasses

Poisson-grenouille des Sargasses

Poisson-grenouille des Sargasses (Histrio histrio). L'aspect inhabituel du poisson-grenouille est conçu pour le cacher contre les prédateurs et parfois pour imiter un repas potentiel de sa proie. En éthologie, l'étude du comportement animal, c'est ce qu'on appelle un mimétisme agressif. Leur forme inhabituelle, les couleurs et les textures de la peau servent de déguisement au poisson-grenouille, coloré pour se fondre dans les sargasses environnantes. Pour le poisson-grenouille, sans écailles et sans protection, le camouflage est un moyen important de défense contre les prédateurs. Les nageoires du Poisson-grenouille des sargasses peuvent saisir des touffes de sargasses, lui permettant d'y grimper. En général, le poisson-grenouille ne bouge pas beaucoup, préférant se poser sur le fond et attendre qu'une proie approche. Une fois que la proie est repérée, il s'approche lentement à l'aide de ses nageoires pectorales et pelviennes qui lui permettent de marcher. Il peut utiliser deux types d'allures. Avec la première, il déplace alternativement ses nageoires pectorales vers l'avant, cette propulsion est analogue à la démarche d'un bipède tétrapodes, car il n'utilise pas ses nageoires pelviennes. Alternativement, il peut se déplacer avec une sorte de galop lent, en déplaçant ses nageoires pectorales simultanément en avant et en arrière, le transfert de leur poids aux nageoires pelviennes tout en déplaçant les pectorales. Mais quelle que soit la démarche, il ne peut parcourir que de courtes distances.